1 septembre Musique Lancement de l’album Contes des cœurs perdus Soirée romantique avec Thomas Chevalier REGINA - C’est au German Club de Regina que le chanteur fransaskois Thomas Chevalier a convié son public, le 25 août 2018, à une...
Folkfest 2018 La diversité culturelle au rendez-vous à Saskatoon SASKATOON - La culture dans sa diversité était une fois de plus au rendez-vous cette année à travers l’organisation de la 39e édition...
Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Pour la première fois, un artiste de la Saskatchewan a remporté la grande finale du prestigieux Festival international de la chanson de Granby...
Première rencontre de consultation à Regina La CAFS consulte ses membres REGINA - Lors de la dernière assemblée générale de la CAFS, en juin dernier, il est ressorti que la gestion de l’organisme devait être...
1er rapport d’une étude sur 50 000 Canadiens âgés de 45 à 85 ans Aînés francophones : manque de soins, absence de services en français… mais bonne santé mentale Solitude et isolement, démence, transport et mobilité, incapacités et chutes, modes de vie et vieillissement des personnes LGBT. Un premier...
18 juin 2019 FAJEF 20212 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer