20 octobre Histoire et patrimoine Les Journées du Patrimoine de la Société historique de la Saskatchewan Le centenaire l'armistice célébré en français à Moose Jaw MOOSE JAW — Le 29 septembre dernier, à la 15e escadre de Moose Jaw (aérodrome McEwen) et dans le cadre de la 13e édition...
Sommet provincial 2018 en immigration francophone REGINA - Le Sommet provincial 2018 en immigration francophone a eu lieu les 24 et 25 septembre dernier à la Cité universitaire francophone de...
Assemblée annuelle de la Société historique de la Saskatchewan Préserver les archives et sensibiliser les jeunes REGINA - La préservation des archives fransaskoises fait face à de nombreux défis et la Société historique de la Saskatchewan (SHS) ne ménage pas...
Célébrations du centenaire du Collège Mathieu GRAVELBOURG - L’équipe du Collège Mathieu n’a pas ménagé ses efforts pour célébrer en grand le centenaire de l’institution...
Une première visite en Fransaskoisie pour le Comité permanent des langues officielles REGINA - Le 27 septembre dernier, à Regina, avait lieu une séance de consultations du Comité permanent des langues officielles de la Chambre...
18 juin 2019 FAJEF 20212 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer