22 novembre Agriculture et environnement Les Canadiens et la viande : toujours une aussi grande relation d’amour ? Une récente étude de l’Université de Dalhousie en Nouvelle-Écosse indique que les Canadiens semblent de plus en plus disposés à délaisser la...
Écrire en français dans les Amériques : mission impossible ? Au Canada, en excluant les activités du Québec, il peut s’éditer annuellement jusqu’à 150 livres en français provenant...
Les chauves-souris et l'hiver De la Sérotine brune à l’Oreillard roux en passant par la petite chauve-souris brune, 3 espèces de chauves-souris vont élire résidence en...
Le Prix Bravo Bénévole 2018 décerné au Collectif des parents inquiets et préoccupés Cette année, le prix Bravo bénévoles reconnait de manière solennelle les efforts du collectif des parents inquiets et préoccupés (CPIP).
Une nouvelle tradition à Bellegarde BELLEGARDE - Le 21 octobre dernier, la paroisse St Maurice de Bellegarde a offert son premier brunch communautaire à la salle communautaire de...
18 juin 2019 FAJEF 20218 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer