Communautaire 20 décembre 2018 Rencontre des député.e.s communautaires de l'ACF le 8 décembre à Regina
18 décembre Postsecondaire Journalisme en français : Des journalistes formés en Saskatchewan dès 2019 Le Collège Mathieu, situé à Saskatoon et Regina, importera le programme de journalisme de la Cité collégiale d’Ottawa pour la rentrée...
Programme de contestation judiciaire : en action en 2019 Si les comités d’experts de la 3e mouture du Programme de contestation judiciaire réussissent à établir les critères d’admission...
Vigilance et solidarité Être francophone au Canada demande une conviction inébranlable et une résilience sans borne. Il faut être vigilant à tout moment et faire preuve...
Centre de la francophonie des Amériques : Un changement de cap qui inquiète Le président-directeur général du Centre de la francophonie des Amériques, Denis Desgagné, est remplacé au pied levé sur décision du gouvernement...
Profil des gens d’ici - Katarína Fašiangová Amoureuse de la langue française et du voyage ! Katarína Fašiangová est une véritable passionnée de la langue française comme nous en trouvons peu. Elle a choisi de quitter son pays natal, la...
18 juin 2019 FAJEF 20224 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer