27 septembre CÉCS - Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan AGA du CECS à Zenon Park ZENON PARK - Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a tenu sa 71e assemblée générale annuelle le 7 septembre 2018 à Zenon...
Éducation 2.0 On attribue à l’empereur Charlemagne la création de l’école. Depuis ce temps, l’éducation a pris une importance primordiale dans...
Vernissage de Éphémère, exposition solo d’Anne Brochu Lambert Le dimanche 9 septembre, une vingtaine de personnes se sont rendues à la galerie publique du Collège St-Thomas More de Saskatoon pour...
Les aînés à l’ère de l’intelligence artificielle. Dans les maisons ou logements habités par des aînés, un réseau informatisé, incluant toutes sortes de capteurs, pourrait veiller sur la santé et...
AGA de l'ACFR : Un surplus...un soulagement ! REGINA - Le surplus de 31 629 $ annoncé par l’organisation quelques jours avant l’AGA a semblé soulager les membres et...
18 juin 2019 FAJEF 20212 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer