19 février Immigration Gens d'ici Tanoh Adou : de la Côte d'Ivoire à Vonda VONDA - Canadien d’origine ivoirienne, Tanoh Adou est de formation communicateur, infirmier et enseignant. Sa passion réside dans la...
Entrevue avec la présidente, Céline Moukoumi Un mois de célébration, dix ans pour la CAFS Pour souligner son 10e anniversaire, la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan propose une programmation...
L’impact de l’engagement communautaire concerté Le Heritage Festival de Saskatoon, qui s’est tenu le dimanche 3 février 2019 au Western Development Museum de Saskatoon, a permis...
Débuts de l'histoire des Noirs au Canada La première personne noire arrivée au Canada était un Africain nommé Mathieu de Coste. Il arrive en 1608.
Le Festival du Voyageur fête ses 50 ans Les Franco-Manitobains célèbrent le 50e anniversaire du Festival du Voyageur. Celui-ci est considéré comme le plus important festival...
18 juin 2019 FAJEF 20230 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer