29 mars Francophonie La ville est la première de la province à joindre le Réseau des villes... Prince Albert: une première saskatchewannaise PRINCE ALBERT - Le lundi 4 mars, le conseil municipal de Prince Albert a voté à l’unanimité l'adhésion de la...
Exposition à Vonda des machines agricoles miniatures d’Hervé Poilièvre VONDA - Dans le cadre de la semaine de la Francophonie, l’école Providence de Vonda a invité monsieur Hervé Poilièvre à présenter des...
Décès de Joe Fafard : Témoignages de la communauté artistique L'Eau vive a recueilli les témoignages de plusieurs membres de la communauté artistique de l'Ouest suite au décès de Joe Fafard.
Le voile sur le scandale des religieuses violées dans l’Église se déchire Jeunes novices et religieuses vouées à la chasteté et l’obéissance, elles sont livrées par leurs supérieures dans le lit de prêtres et...
18 juin 2019 FAJEF 20234 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer