13 avril Aventure et plein air Quelle est votre éthique de la nature ? Il convient à chaque amateur de plein air de développer une éthique de la nature parce que cette philosophie-là vous aidera à protéger et...
Adama Sangaré, nouveau député communautaire pour le district de North Battleford Monsieur Adama Sangaré a été assermenté le 6 avril 2019 à titre de député communautaire pour le district de North Battleford.
Denis Magnan : au cœur des grandes réussites de la communauté fransaskoise Décédé le 30 mars 2019, à l’âge de 71 ans, Denis Magnan a été au cœur de développements majeurs pour la communauté fransaskoise.
Journée du Mieux-Être à Saskatoon La santé ce n’est pas seulement l’absence de maladie SASKATOON - « La santé est un état de bien-être physique, mental et social complet et ne consiste pas seulement en une...
Plus de 1 300 jeunes à l'édition 2019 de Francofièvre Le rendez-vous annuel qu’est devenue la Francofièvre continue de s’améliorer d’année en année et nous sommes plus que jamais à...
18 juin 2019 FAJEF 20234 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer