14 mars Zenon Park Début de la campagne de la Fondation fransaskoise Lancement du Francothon à Zenon Park ZENON PARK - Le jeudi 28 février, une équipe de Radio-Canada s’est rendue à Zenon Park pour le lancement du Francothon 2019.
Immigration: Dévoilement d’une nouvelle ressource de sensibilisation Le RIF-SK est heureux de dévoiler au public trois capsules vidéo réalisées par la Société Radio-Canada dans le cadre du projet « Ce...
L’hiboulimique Harfang À force de voir toujours l’herbe plus verte chez le voisin, nous en oublions de regarder ce qui se passe chez nous. Pourtant, nombreux sont...
Rétrospectives de deux des plus grands artistes autochtones des soixante... Exposition de deux grands artistes autochtones à Saskatoon SASKATOON - Les artistes Anichinabés, Rebecca Belmore (1960 -) et Norval Morrisseau (1931-2007) ont marqué à eux deux des générations...
Yassine El Bahlouli annonce sa démission du CA de l'ACFR REGINA - Yassine El Bahlouli a annoncé publiquement qu'il démissionnait du conseil d'administration de l'Association...
18 juin 2019 FAJEF 20234 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer