16 mars Arts visuels Décès de Joe Fafard La famille du sculpteur de renommée internationale, Joe Fafard, a annoncé son décès le 16 mars 2019, dans sa résidence de Lumsden, entouré de sa...
Une ressource essentielle et épuisable L’eau : à consommer avec modération ! Selon AccuWeather, un printemps doux et clément s’annonce dans la grande majorité du pays mais un printemps particulièrement sec. Tout...
L'engagement de Françoise Sigur-Cloutier pour les droits des femmes Plusieurs on eut l’occasion de connaître Madame Sigur-Cloutier à titre de présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise...
Jean Chrétien et le sens de l’humour pour dédramatiser la politique Pour souligner son 25e anniversaire d’accession au poste de premier ministre, Jean Chrétien s’est astreint à écrire plusieurs...
Le pont de la rue Albert paré de drapeaux fransaskois Pour souligner les Rendez-vous de la francophonie, la province de la Saskatchewan a orné le pont de la rue Albert de drapeaux fransaskois. Les...
18 juin 2019 FAJEF 20234 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer