1 avril Prince Albert Les tintamarres fransaskois claironnent à Prince Albert et Moose Jaw Le 19 mars 2019, les tintamarres ont résonnée dans les rues de Moose Jaw et Prince Albert. Les jeunes ont affirmé, en bruit et en couleur, leur...
Pertes sèches Nos prélèvements d'eau excèdent la capacité de renouvellement Le dérèglement climatique engendre une amplification des phénomènes météorologiques extrêmes. Le cycle de l’eau s’emballe et...
Memento mori : une aventure dans l’inconnu La structure était construite en pierre et elle ressemblait à un igloo sauf que l’entrée était beaucoup plus longue et avait la forme de la...
La santé mentale et les préjugés Le scientifique Albert Einstein, comme il l’a dit si bien : « Quelle triste époque où il est plus facile de désintégrer un...
La consultation a bien meilleur goût… L'aide fédérale aux médias oublie la presse minoritaire Dans le dernier budget fédéral, on annonçait un programme de crédit d’impôt pour les médias écrits. À nulle part dans ce programme et ses...
18 juin 2019 FAJEF 20234 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer