1 septembre Musique Lancement de l’album Contes des cœurs perdus Soirée romantique avec Thomas Chevalier REGINA - C’est au German Club de Regina que le chanteur fransaskois Thomas Chevalier a convié son public, le 25 août 2018, à une...
Folkfest 2018 La diversité culturelle au rendez-vous à Saskatoon SASKATOON - La culture dans sa diversité était une fois de plus au rendez-vous cette année à travers l’organisation de la 39e édition...
Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Pour la première fois, un artiste de la Saskatchewan a remporté la grande finale du prestigieux Festival international de la chanson de Granby...
Première rencontre de consultation à Regina La CAFS consulte ses membres REGINA - Lors de la dernière assemblée générale de la CAFS, en juin dernier, il est ressorti que la gestion de l’organisme devait être...
1er rapport d’une étude sur 50 000 Canadiens âgés de 45 à 85 ans Aînés francophones : manque de soins, absence de services en français… mais bonne santé mentale Solitude et isolement, démence, transport et mobilité, incapacités et chutes, modes de vie et vieillissement des personnes LGBT. Un premier...
17 février 2020 AJEFS 29623 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer