1 février Politique Médias : un appui à la transition numérique dans le budget 2018 Le gouvernement fédéral a annoncé une aide pour l'industrie de l'information pour le prochain budget.
La Commission indépendante rejette une centaine de bulletins de vote à Saskatoon Roger Gauthier, président de l’ACF Roger Gauthier a été déclaré élu à la présidence de l'Assemblée communautaire fransaskoise, le 4 janvier dernier à la suite du scrutin du...
Beaumont, Saskatoon et La Broquerie Le dynamisme unique de communautés de l’Ouest expliqué Les provinces de l’Ouest étaient les seules à afficher des taux de croissance supérieurs à la moyenne nationale, selon le recensement de...
Cinq nouvelles œuvres d’art à la collection permanente du CCF Le Conseil culturel fransaskois (CCF), en partenariat avec le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS), a proposé aux artistes...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5325 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer