18 décembre Théâtre A Christmas Carol à Regina: La magie de Noël L'enseignante Sylvie Fletcher de l'École Monseigneur de Laval à Regina a demandé à ses élèves...
Martine Noël-Maw s’inspire au Salon du livre de Montréal L’auteure fransaskoise Martine Noël-Maw a parcouru des milliers de kilomètres au cours des dernières semaines. Après une tournée dans les...
Du racisme fransaskois ? Vraiment ? «Qu’on se le dise : la communauté fransaskoise, dans son ensemble, n’est pas raciste. »
Allégation d’agression physique et verbale lors du Rendez-vous fransaskois L’enquête indépendante tranche : aucune agression L’Assemblée communautaire fransaskoise a réagi à l’accusation d’agression physique et verbale par un...
AGA ACFR : une date grandement critiquée! La communauté fransaskoise a réagi haut et fort sur le choix de la date de la prochaine assemblée générale...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5325 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer