7 décembre Les timbrés Le centenaire de l’explosion d’Halifax Un timbre a été dévoilé pour commémorer l'explosion d'Halifax.
D’où viennent les plantes décoratives du temps des Fêtes ? D’où viennent les plantes décoratives du temps des Fêtes ? Notre chroniqueuse Mélanie Jean y répond!
Deux enseignantes de la Saskatchewan reçoivent le Prix d’histoire du Gouverneur général pour l’excellence en enseignement Le 22 novembre 2017, à Rideau Hall, les enseignantes saskatchewannaises Naomi Fortier-Fréçon et Leia Laing ont reçu le...
Une nouvelle citoyenne canadienne Le mercredi 8 novembre dernier, notre amie Angeline Feumba est devenue citoyenne canadienne.
Les conseillers scolaires à la rencontre des aspirants chefs Les conseillers scolaires fransaskois ont commencé à rencontrer les candidats à la chefferie du Parti saskatchewannais et du...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5325 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer