Immigration 9 novembre 2017 Semaine nationale de l'immigration : lancement de la cinquième édition! Le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) a effectué le lancement de la cinquième édition de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le 27 octobre dernier, à la Rotonde.
9 novembre Communautaire Bourrasque électorale de l’ACF : Denis Simard élu président Même si les élections de l’Assemblée communautaire fransaskoise ont eu lieu le 1er novembre dernier, il aura fallu...
Charte de la presse écrite minoritaire : éliminer l’ingérence Constatant une incompréhension en milieu minoritaire sur le rôle des journaux, l’Association de la presse francophone (APF) a...
L'ensemble de notre héritage: une oeuvre collective à Bellevue Environ vingt-cinq personnes de Bellevue ont collaboré pour créer un casse-tête géant soulignant le 150e anniversaire...
Course Zombies versus Humains Envahie par les zombies, Moose Jaw survit Des zombies ont envahi la ville de Moose Jaw, semant la terreur au parc Connor, le 14 octobre 2017.
Le CLO en Cour fédérale « L’agent du Parlement a abdiqué à son devoir d’indépendance » Chantal Carey résume la situation : « Le Commissariat s’oppose devant les tribunaux à un droit qu’il est...
17 février 2020 AJEFS 29559 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer