26 octobre Immigration Partage culturel afro-canadien à Gravelbourg Près d’une centaine de personnes ont participé à la Journée de partage culturel afro-canadien le 21 octobre au...
Défis d’hier et d’aujourd’hui de l’Assemblée communautaire fransaskoise REGINA - Être à la tête de l’ACF est loin d’être de tout repos. Le prochain président de...
Députés communautaires Rencontres avec les candidats de Regina et Saskatoon REGINA - À quelques jours des élections à l’Assemblée communautaire fransaskoise, l’Association canadienne-française de Regina (ACFR)...
Francine Proulx-Kenzle reçoit la Médaille du souverain Le 9 novembre 2017, Francine Proulx-Kenzle recevra la Médaille du souverain pour les bénévoles pour sa contribution et son...
The Trial of Louis Riel : un demi-siècle sur les planches REGINA - L’hôtel DoubleTree de Regina accueillait un symposium organisé dans le cadre du 50e anniversaire de la production The Trial of...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8826 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer