11 octobre Éducation Protocole en éducation Patrimoine canadien représentera les conseils scolaires lors des négociations Désormais, Patrimoine canadien représentera les conseils scolaires lors des négociations.
Politique créative du Canada : la francophonie reste sur sa faim La ministre du Patrimoine canadien a livré le 28 septembre la nouvelle Politique créative du Canada. L’annonce laisse...
L’argent des écoles… peut-être anglaises ? La question se pose quant à l’usage des fonds fédéraux destinés aux écoles françaises.
Nouveau Corridor de transport dans le Nord Une seconde Transcanadienne? C’est au plus tard le 18 novembre qu’Ottawa répondra à la proposition du Comité sénatorial permanent des...
Chant'Ouest 2017: Byrun Boutin-Maloney ira à Granby Le Fransaskois Byrun Boutin-Maloney a remporté l’un des deux prix André-Mercure décerné aux gagnants du concours...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8810 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer