29 août Politique Brad Wall : l’heure du bilan Suite à l’annonce de la démission de Brad Wall, l’heure est au bilan. Que peut-on retenir de ses dix ans à la...
Le langage secret des spermophiles La population des spermophiles de Richardson, communément appelés « gophers », a explosé au centre...
Rencontre avec Don Peterson de Maple Creek Le Tour du monde en 343 jours Originaire de Maple Creek, Don Peterson se prépare pour une course à l’échelle de la planète.
Byrun représentera la province au Chant'Ouest 2017 Nouvelle Scène 2017: une bonne cuvée REGINA - Le Conseil culturel fransaskois (CCF) a réuni sur scène le 3 août dernier quatre participants pour la 28e...
RIF-SK : Une nouvelle équipe en place REGINA - La nouvelle équipe du Réseau en immigration de la Saskatchewan (RIF-SK), coordonnée par Marie Galophe, est...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8810 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer