12 octobre Politique Le bilinguisme fédéral selon Charles Le Blanc « Le français n’est pas pris au sérieux dans la fonction publique » À la suite du dévoilement par Radio-Canada d’un rapport interne sur le bilinguisme dans la fonction publique...
Place aux femmes : une initiative citoyenne et solidaire p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; text-align: justify; line-height: 13.0px; font: 11.0px 'Trebuchet MS'; -webkit-text-stroke: #000000}...
Netflix: Mélanie Joly est-elle encore crédible ? La ministre du Patrimoine a été critiquée pour une entente de 500 millions $ avec le producteur et diffuseur Netflix.
Rencontre avec Michel Vézina, le conseiller démissionnaire de Gravelbourg Le conseiller municipal de Gravelbourg, Michel Vézina, a démissionné de ses fonctions pour protester contre l’envoi...
La Trahison : un regard unique sur le soulèvement des Métis Le Théâtre Oskana a présenté sa pièce de théâtre La Trahison, du 21 au 23 septembre dernier, à Regina.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8826 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer