6 juillet Écoles fransaskoises Des élections scolaires prévues à Saskatoon Christiane Guérette quitte la présidence du CSF REGINA - La présidente du Conseil scolaire fransaskois Christiane Guérette a annoncé sa démission le 23 juin 2017.
Lancement du livre Le Trésor de Lucie REGINA - L’auteure Danielle Lavoie a lancé son second livre jeunesse intitulé Le Trésor de Lucie à...
Presse et démocratie En cette ère de post-vérité, une presse libre et en santé est essentielle. Et pourtant, elle se porte mal.
Assemblée générale des membres sur les statuts de l'ACF Une assemblée agitée pour les membres de l'ACF PRINCE ALBERT - Les membres de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) inscrits à l’assemblée...
Regina Folk Festival Une riche programmation en français REGINA - Le parc Victoria accueillera le plus ancien festival de l'Ouest, le Regina Folk Festival, du 10 au 13 août.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8810 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer