22 juin Écoles fransaskoises Une carrière consacrée à l'éducation en français Gilles Groleau récompensé REGINA - Gilles Groleau a été le récipiendaire du prix Dubois-Leblanc soulignant la qualité de son engagement au...
AGA du Réseau Santé en français de la Saskatchewan « La santé, c’est du berceau à la tombe » – Anne Leis SASKATOON - Dans son rapport annuel à l'assemblée annuelle du RSFS, la présidente Anne Leis a bien résumé la...
Shawn Jobin au Cabaret du Relais SASKATOON - Après quelques semaines bien remplies au Québec où ils ont récolté plusieurs prix, les artistes...
Morceaux choisis : une exposition d’Estelle Bonetto Estelle Bonetto et quelques Fragments d'identité REGINA - C’est dans le cadre du Cathedral Village Arts Festivals qu’Estelle Bonetto, poète et artiste d’origine...
Le transport d’aînés L’abandon total par le gouvernement de la Saskatchewan du système de transport STC cause bien des soucis aux aînés...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8795 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer