8 juin Aînés Assemblée annuelle 2017de la Fédération des aînés SASKATOON - C’est un bilan positif, malgré un déficit de 3 600$, que le conseil d’administration de la...
Festival Mosaic 2017 à Regina Mosaic 2017 : Un pavillon francophone haut en couleur REGINA - Les résidents de la capitale saskatchewannaise se sont déplacés en grand nombre dans les dix pavillons du festival...
La FCFA réagit positivement Madeleine Meilleur ne sera pas commissaire aux langues officielles Madeleine Meilleur a retiré une épine du pied des libéraux en se récusant du poste de commissaire aux langues...
Huit nouveaux diplômés pour le Collège Mathieu Huit finissants du Collège Mathieu sont partis sourire bien en vue avec leur diplôme en main à la suite de leur...
Siriki Diabagaté quitte la présidence de l'APF Le président du conseil d’administration de l’Association des parents fransaskois (APF) Siriki Diabagaté...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8795 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer