25 mai Le 7e art Un film de Denys Arcand (2003) Les invasions barbares Une belle illustration, certes un peu amplifiée, de la réalité des premiers baby-boomers au Québec.
Le faux-gui du pin et les balais de sorcière La raison de cette forme de croissance étrange du pin gris en balais de sorcière est la présence d’une plante...
Les finances de l'association réginoise suscite des discussions Tensions à une séance d'information de l'ACFR L’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a tenu une session d’information sur ses finances de l’année...
La France : place aux jeunes! La France vient de se choisir un président de 39 ans, inconnu au bataillon il y a un an, à la tête d'un parti âgé de 13 mois, En Marche!
Les places les plus bizarres où j’ai campé Camping insolite D’abord, j’ai passé quelque temps à faire l’inventaire de mes souvenirs. Ensuite, j’ai regardé de...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8795 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer