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L’anglais gagne du terrain au Québec Bilinguisme dans les provinces : dernière place pour la Saskatchewan Le taux de bilinguisme a atteint un nouveau sommet au Canada, passant de 17,5 à 18 pour cent à l'échelle nationale entre 2011...
Nommée gouverneure générale: Julie Payette prête pour la "grande aventure" La Québécoise âgée de 53 ans a tenu à exprimer sa "sincère gratitude" à Justin trudeau ainsi...
Festival de Petite vallée: Prix du public pour Étienne Fletcher L'artiste fransaskois Étienne Fletcher a remporté le Prix du public Hydro Québec lors de l'édition 2017 du Festival en...
Reesor Ranch : découvrir le Far West dans la langue de Molière Récipiendaires de multiples prix touristiques, les Reesor opèrent un ranch où vous pouvez faire de l’équitation,...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8810 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer