2 février Moose Jaw Les cours de français à Moose Jaw gagnent en popularité L'été passé, lors des Sidewalk Days, nous avons entendu les demandes de nos amis anglophones pour des cours de...
Soirée sous le signe de la littérature et de la chanson Un Cabaret littéraire éclectique à Saskatoon SASKATOON - Le vendredi 27 janvier, la quarantaine de personnes présentes à la soirée Cabaret du Relais à Saskatoon ont pu savourer une soirée...
Quelques faits saillants Revue de 2016 en environnement L’époque des revues de l’année est maintenant passée, mais voici tout de même certains...
Un deuxième disque qui répond aux attentes Alexis Normand: Un folk rock aux inspirations jazz Alexis Normand arrive à la croisée des chemins avec son deuxième disque solo. Les onze chansons de cette offrande,...
Don de 5 000$ pour la création d’un parc historique à Zenon Park La succursale de Zenon Park de la Diamond North Credit Union (DNCU) a remis un chèque de 5 000$ à l’Association fransaskoise...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8764 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer