15 décembre Communautaire Deux projets fransaskois retenus par Canada 150 Pour souligner le 150e anniversaire du Canada, le gouvernement fédéral a mis sur pied un programme pour financer des projets...
"Par amitié": le rire était au rendez-vous à Gravelbourg GRAVELBOURG - Vous sentez-vous seul? Vous n’avez jamais rencontré l’âme sœur? Ou toutes vos tentatives non rien...
Le Centre francophone des Battleford de retour au Centre Don Ross NORTH BATTLEFORD - C’est au Centre Don Ross à North Battleford qu’est situé le Centre francophone des Battleford depuis...
L'armée américaine refuse d'accorder une servitude au projet Dakota Access Victoire pour les manifestants de Standing Rock Le corps des ingénieurs de l'armée américaine n'accordera pas une servitude au controversé projet d'oléoduc...
Cours de français pour adultes à Moose Jaw MOOSE JAW - À Moose Jaw, les cours de français pour adultes offerts par l'ACFMJ connaissent un immense succès.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8747 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer