10 novembre Moose Jaw Plus de 85 zombies et humains se sont affrontés Les morts-vivants ont envahi Moose Jaw Les zombies ont envahi Moose Jaw lors de l'évènement Zombie vs humain auquel 85 personnes ont participé le 29 octobre 2016....
Entretien avec Roméo Dallaire Le génocide au Rwanda était une guerre contre l’humanité. Roméo Dallaire est un ancien combattant de ce conflit....
Le « mieux-être » au cœur du Rendez-vous fransaskois 2016 SASKATOON - C’est sous le thème du « mieux être personnel et communautaire » que s’est...
Le Campus Saint-Jean honore un de ses anciens étudiants Laurier Gareau reçoit le Prix d’honneur Saint-Jean SASKATOON - Le 5 novembre dernier, à l’occasion du Rendez-vous fransaskois qui se tenait à Saskatoon, le doyen du Campus...
Anne Leis reçue au sein de la Compagnie des Cent-Associés francophones La Dre Anne Leis, de Saskatoon, a été reçue au sein de la Compagnie des Cent-Associés francophones. Elle a...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8735 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer