29 octobre Agriculture et environnement Changer la manière dont on fait les choses Le St. Denis National Wildlife Area démystifié Le 18 octobre 2016, le Global Institute for Water Security de l'Université de la Saskatchewan a invité les gens de la...
Un cadre du CÉF devient président de l'APF De l’huile sur un feu presque éteint? L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de...
Maman j'ai peur!!! L'après Trump: lendemains électoraux inquiétants? Que se passera-t-il si Donald Trump ne reconnaît pas sa défaite? Il y a beaucoup de mécontentement, de colère, de frustration et de peur chez...
Décès d'Omer Archambault Le juge Omer Archambault, originaire de Duck Lake, est décédé paisiblement le 19 octobre 2016 à...
Symposium des parents 2016 L’enfant était au cœur des discussions Environ 150 personnes ont participé à l’édition 2016 du Symposium des parents, organisé par l’Association...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8730 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer