Francophonie 17 novembre 2016 Prestation de services dans les deux langues: Ottawa reverra son règlement
17 novembre Chronique environnement Un ménage à trois chez les lichens Les lichens couvrent environ 6% de la surface de la terre et on trouve plus de 550 espèces en Saskatchewan. Une découverte à...
Métis et Fransaskois : quelques réflexions après la conférence de David Bouchard L’auteur fransaskois, David Bouchard, était l’invité de la Cité universitaire francophone le mardi 1er novembre...
Conférence de David Bouchard: Fransaskois, Métis et joueur de flûte REGINA - Le son envoûtant de la flûte autochtone du chaleureux auteur, conférencier et éducateur fransaskois David...
Un appel du président de la FJCF Pour le droit de vote à seize ans Le Comité spécial sur la réforme électorale étudie des réformes électorales possibles et consulte...
Straight Jacket Winter à Saskatoon: une soirée intime et magique Une partie de l’émerveillement réside dans les conceptions sonore et visuelle qui transgressent la ligne usuelle entre le jeu...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8735 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer