4 novembre Écoles d'immersion Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School Mardi le 18 octobre 2016 avait lieu l’inauguration de l’École Gravelbourg School à Gravelbourg.
Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls GRAVELBOURG - La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de...
Tournée « On n’est pas des cowgirls » avec Alexis Normand et Ariane Marÿke... Lancement de deux albums par des artistes des Prairies SASKATOON - Le 20 octobre dernier à Saskatoon, Alexis Normand et Ariane Mahrÿke Lemire ont présenté deux excellentes...
Bouton « Panique » Ça vous est déjà arrivé de vous tromper de date pour un certain engagement? Et quand vous vous en apercevez, le bouton...
Pour être en paix avec soi et avec les autres Méditer à l’école Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8730 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer