25 janvier Arts visuels À la rencontre de l’artiste (1/5) Entretien avec Laura St.Pierre, artiste de Saskatoon Laura St.Pierre est une artiste visuelle œuvrant principalement dans les domaines de l’installation, de la sculpture et de la...
Projections linguistiques canadiennes: moins d'anglais et de français d'ici 2036 Une récente étude de Statistique Canada sonne l'alarme relativement à la place qu'occupera la langue française dans...
Une balade en filigrane L'exposition "La gravure: un art à découvrir" à Regina Le Musée de la Banque du Canada a créé un historique de la gravure qui m’a transportée dans...
Le plaisir de camper en hiver Les tentes en canevas: une expérience de camping unique La tente en canevas évoque la liberté d’une époque révolue et l’esprit d’errance dans le Grand Nord....
150 ans et plus de canadianité On ne peut commencer cette nouvelle année 2017 sans parler du cent cinquantième anniversaire du Canada. 2017 sera une année...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8764 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer