15 juin Communautaire Mesurer le mieux-être de la communauté fransaskoise Mise à jour Plan de développement global de la communauté fransaskoise Bien qu’il soit resté similaire à sa dernière version datant de 2010, le PDG version 2016 a été sujet...
Conférence du Pr Rodrigue Landry au Forum santé 2016 Comment revitaliser le « village gaulois » ou le modèle de l’autonomie culturelle en Saskatchewan ? REGINA - « La francophonie en Saskatchewan et le défi de l’autonomie culturelle ». C’est autour de...
Forum santé 2016 à Regina Un réseau santé bien branché…pour une meilleure santé en français REGINA - Le Forum santé 2016 du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) s’est tenu les 27 et 28 mai...
Baluchon Alzheimer: éviter l’épuisement des aidants SASKATOON - En Saskatchewan, plus de 19 000 personnes vivent avec une démence comme la maladie d’Alzheimer. Prendre soin de ces...
AGA du Réseau Santé en français de la Saskatchewan Réseau Santé : cap sur les ressources humaines REGINA - En regardant vers l’avenir, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) met l’accent sur...
17 février 2020 AJEFS 29427 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer