7 avril Aînés Projet intergénérationnel à Gravelbourg Des aînés et des jeunes élèves de Gravelbourg ont discuté carrières.
Rencontre avec la monitrice de langue Éliane Garcia Concours Flash ton école: prix Coup de coeur des RVF à l'École Valois PRINCE ALBERT - L'école Valois a remporté la deuxième place du concours Flash ton école en se méritant le prix...
Rencontres des candidats à Gravelbourg Dans le cadre d’une tradition de longue date, l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG) a organisé des...
Conférence de Zachary à la Cité universitaire francophone Le francophone de la Louisiane : une construction identitaire inclusive Une certaine mythologie s’est développée entre les Acadiens depuis la déportation de 1755.
Un vide juridique relentit les gouvernements provinciaux L’article 23 inclut-il le préscolaire ? Le ministère de l’Éducation du Nouveau-Brunswick attend un examen du régime de garderies avant de décider...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer