5 mai Politique Une véritable industrie judiciaire Vide politique des droits linguistiques Après l’investissement de plusieurs dizaines de millions $ dans trois programmes de contestation successifs pour appuyer quelque 500...
Pour ou contre le lait cru? La vente de lait cru est interdite au Canada mais la vente de fromages faits de lait cru est permise. La pasteurisation fait depuis longtemps...
J'Orage de Ponteix, un mini-album audacieux Décidément, il faut se tourner du côté de la Saskatchewan pour dénicher les propositions pop indie francophones...
Pour ses 50 ans l'ACFR dit merci à ses bénévoles Gala de reconnaissance de l'ACFR Voyez les photos du Gala de reconnaissance de l'Association canadienne française de Regina.
Les élèves de Debden découvrent la Ville de Québec DEBDEN - En septembre 2014, nous avons commencé à planifier notre voyage éducatif à Québec. Avec l'aide de nos...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer