27 mai Francophonie Bibliothèque des Amériques: 7000 ouvrages numériques en français Créée par le Centre de la francophonie des Amériques, la Bibliothèque des Amériques donne accès...
Une production de l'Office national du film Projection du «Projet Grasslands» à Gravelbourg GRAVELBOURG - Jeudi soir le 12 mai dernier, le Théâtre Renaissance Gaiety de Gravelbourg a attiré une foule de 160 personnes...
Qu’est ce qui nous habite? « 1 Canadien sur 3 aura un problème de santé mentale au cours de sa vie et au moins 1 Canadien sur 5 aura un...
Publicité fédérale Les journaux minoritaires pas plus avancés Le gouvernement fédéral vient de lancer sa nouvelle politique de communication avec le public. Pas une seule ligne ne portait...
Table ronde du CFA sur la francophonie « Soyons fiers de ce que nous sommes » - Michel Dubé Ses aïeuls étant arrivés au Canada il y a 350 ans, Michel Dubé déplore d'avoir à prouver son bon droit à des Canadiens de 2e ou 3e...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer