15 juin Communautaire Mesurer le mieux-être de la communauté fransaskoise Mise à jour Plan de développement global de la communauté fransaskoise Bien qu’il soit resté similaire à sa dernière version datant de 2010, le PDG version 2016 a été sujet...
Conférence du Pr Rodrigue Landry au Forum santé 2016 Comment revitaliser le « village gaulois » ou le modèle de l’autonomie culturelle en Saskatchewan ? REGINA - « La francophonie en Saskatchewan et le défi de l’autonomie culturelle ». C’est autour de...
Forum santé 2016 à Regina Un réseau santé bien branché…pour une meilleure santé en français REGINA - Le Forum santé 2016 du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) s’est tenu les 27 et 28 mai...
Baluchon Alzheimer: éviter l’épuisement des aidants SASKATOON - En Saskatchewan, plus de 19 000 personnes vivent avec une démence comme la maladie d’Alzheimer. Prendre soin de ces...
AGA du Réseau Santé en français de la Saskatchewan Réseau Santé : cap sur les ressources humaines REGINA - En regardant vers l’avenir, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) met l’accent sur...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer