26 novembre Musique Francotronik : musique techno et lumières fluo pour la 3e édition REGINA - Décor tout blanc à éclairage fluorescent pour la 3e édition de la Francotronik, organisée samedi le 21...
Entrevue avec Mario Lepage Le groupe Ponteix : premier titre et court métrage Ponteix lance son premier titre avec un clip sous forme de court métrage. Chasing the Sun annonce le EP de 4 chansons du groupe...
Les marchands d'armes font des affaires d'or Des Paris partout sur la planète En 2013, les dépenses militaires dans le monde se sont faites au rythme de 3,3 millions $ par minute (ou 55 000$ par seconde).
"Si on n'est pas capable de dire la vérité à ceux qu'on aime, on la dit à qui?" Le long voyage de Pierre-Guy B. : un grand moment de théâtre SASKATOON - Le long voyage de Pierre-Guy B, c'est d'abord l'histoire d'un auteur (Philippe Soldevila), d'un comédien (Christian Essambre),...
Chronologie du statut juridique du français dans l’Ouest Dates charnières du statut juridique du français dans l'Ouest canadien.
17 février 2020 AJEFS 29377 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer