23 septembre Francophonie Roger Lepage reçoit l’Ordre des francophones d’Amérique Le Conseil supérieur de la langue française a remis le 23 septembre les insignes de l’Ordre des francophones d’Amérique et le...
L’organisme fransaskois essuie un refus auprès de Creative Saskatchewan Pas de nouvelles subventions pour le Conseil culturel fransaskois REGINA - Le Conseil culturel fransaskois (CCF) estimait qu’il pouvait prétendre à des fonds de Creative Saskatchewan pour...
Chaise vide Pas de conservateur au débat politique de Saint-Denis. Les autres, NPD, libéraux, Parti vert, étaient là. Mais Kelly...
Récit de voyage de Tom Michaud « J’ai laissé un drapeau fransaskois au sommet de l’Amérique du Nord » Tom Michaud, figure bien connue de la communauté fransaskoise, est le coordinateur des services spécialisés pour le Conseil des écoles...
Rencontre des candidats à St-Denis: les conservateurs préfèrent le porte à porte ST-DENIS - Il n'y a pas que les débats entre les chefs de parti qui soient ardus à organiser. Des rencontres...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16413 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer