3 septembre Écoles fransaskoises Un expert de l’éducation minoritaire rejoint le CEF Luc Handfield, nouveau directeur adjoint de l’éducation au CÉF D’origine québécoise, Luc Handfield est le nouveau directeur adjoint de l’éducation au Conseil des écoles...
Réflexion autour de l'AGE du Conseil scolaire fransaskois Thérapie de couple Difficile d’entamer une rentrée scolaire après une Assemblée générale extraordinaire...
Fréquentation toujours en hausse à l’école Valois PRINCE ALBERT - Comme toutes les écoles de Prince Albert, la cloche de l’école Valois a retenti pour la première fois...
Léon Marchildon: Un grand fransaskois La communauté fransaskoise vient de voir disparaître un autre de ses sages. Et comme le dit le proverbe : Un vieillard qui...
Le NPD en plein essor La consécration des cônes oranges Après l’élection fédérale de 2011, plusieurs candidats du Nouveau Parti démocratique (NPD) apprennent...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16413 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer