17 septembre Autochtones / Métis Les Cris d'Onion Lake demandent l'aide des Nations-Unies ONION LAKE - Une Première Nation qui conteste la loi fédérale exigeant des gouvernements autochtones qu'ils dévoilent...
Le théâtre fransaskois vu par David Granger Avant de s’envoler pour la 6e édition de la biennale Zones théâtrales à Ottawa, l’auteur, comédien...
30e saison de La Troupe du Jour : entre tradition et audace SASKATOON - Dans la force de l’art. C’est avec ce slogan que La Troupe du Jour célèbre cette année 30 ans de...
Une centaine de participants pour lancer la nouvelle saison Le 5 à 7 de la rentrée de l'ACFR REGINA - L’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a lancé sa nouvelle saison par un premier 5 à 7 le...
Rencontre avec Denis Rouleau La Troupe du Jour Dans la force de l’art La Troupe du Jour (LTDJ) fête ses 30 ans. Quand on entre dans la trentaine, on aime à dire qu’on est dans la force de...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16413 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer