23 avril Communautaire Fonds publics et organismes porte parole francophones La diversification du financement permettrait aux organismes de mieux servir la population francophone que ne le fait le gouvernement. Mais en...
Essoufflement à la FPF : quel avenir pour les « dossiers femmes » dans la communauté? Que signifie être une femme dans le milieu associatif fransaskois et quel rôle pouvons nous jouer dans les différentes...
Faute de financement, la SHS ne participera pas au projet de vignettes... La Société historique se retire du partenariat avec le Government House
Quand solidarité communautaire rime avec plaisir 27e Hoedown à Bellegarde BELLEGARDE - Le 14 mars dernier, à Bellegarde, se déroulait le 27e Country Hoedown. C'est la soirée idéale...
L'ACFR a 50 ans : ça se fête! Pour célébrer son 50e anniversaire, l’ACFR ne chômera pas et offrira une multitude d’activités pour les...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16365 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer