10 avril Santé Cahier spécial de l'Eau vive, 9 avril 2015 Saskatchewan en Santé Compte rendu de la Foire des générations - Formation en santé du Collège Mathieu - La communication médicale en...
« Offrons un sentiment d'attachement sécuritaire à nos enfants …» - Eva de... Face aux jeunes en difficulté : l'importance du lien affectif « Faisons face à la vulnérabilité du jeune en cultivant le contexte de l’attachement...
Une formation sur la terminologie au Forum des générations Comment améliorer la communication médicale en français ? « Dites français et ça va déjà mieux ». C’est le slogan de la campagne nationale de...
Pas un mythe mais une réalité scientifiquement prouvée Le bilinguisme pour une bonne santé cérébrale Une étude menée par deux chercheurs de l’Université Concordia permet de démystifier les malentendus qui planent...
Un éléphant dans notre salon: les troubles de santé mentale Si un jour vous découvriez un éléphant dans votre salon, que feriez-vous? Est-ce que vous feriez semblant qu’il...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16354 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer