8 avril Musique Aidan et Gavin Gareau excellent au Prince Albert Kiwanis Music Festival Deux frères, une passion : la musique Rencontre avec deux jeunes musiciens fransaskois en plein épanouissement : Aidan Gareau, 11 ans, pianiste et son frère Gavin...
Foire Locale du Patrimoine 2015 Le lundi 30 mars dernier avait lieu, dans le gymnase du Pavillon secondaire des Quatre-Vents è Regina, la traditionnelle foire locale du...
Comment devenir Fransaskois Comment ne pas sympathiser avec Alexandra Drame (Eau vive, 19-25 mars), confuse devant une étiquette appropriée pour qualifier...
Marie-France Kenny arrive à la limite permise de trois mandats successifs. Une nouvelle présidence en juin à la FCFA Marie-France Kenny arrive à la limite permise de trois mandats successifs à la tête de la Fédération des...
Le CÉF transfèrera l'école le 2 juillet 2015 Le Conseil scolaire Centre-Nord récupère l’école de Lloydminster Le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) a décidé de transférer l’école Sans-Frontières de...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16345 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer