Communication 26 mars 2015 Un journaliste stagiaire à l’Eau vive L’Eau vive accueillera, en avril, un des quatre étudiants en journalisme à la Cité collégiale qui ont reçu une bourse de stage de la Fondation Donatien-Frémont.
26 mars Immigration L’adoption de notre terre d’accueil De Djibouti à Prince Albert… 3e partie Et voici le dernier épisode de notre série, avec comme maître mot l’intégration dans notre nouveau pays...
Une première foire francophone à Humboldt Le samedi 21 mars dernier, une dizaine d'organismes du réseau associatif fransaskois se sont donnés rendez-vous à la Salle...
L’art performance personnifiant le lien Unité de contrastes 3 : performance d'Éveline Boudreau Éveline Boudreau a offert une performance devant le Relais de Saskatoon dans le cadre de la Journée internationale de la...
Une soirée inoubliable pour clôturer la visite de Marijosée à Zenon Park Le 20 mars, tous les élèves de l’école et certains membres de la communauté, dont Gilbert Ferré, maire de...
Une nouvelle pousse en Ouganda Les Filles de la Providence sont présentes en Ouganda depuis 2006 en la personne de Sr Emma Mudrik de la Saskatchewan.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16345 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer