20 mars Immigration Nos premiers pas en Saskatchewan De Djibouti à Prince Albert... 2e partie Janvier 2014: arrivée à l’aéroport de Saskatoon. Il fait beau, mais froid. Le thermomètre affiche -30C. Je...
AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan La « Journée fransaskoise du droit 2015 »
Levée du drapeau à Gravelbourg GRAVELBOURG - C’est sur le terrain de l’Hôtel de ville de Gravelbourg que s’est déroulée, mercredi le...
Le gouvernement saskatchewannais souligne les Rendez-vous de la francophonie REGINA - Le mercredi 11 mars 2015 Monsieur Wayne Elhard, secrétaire législatif responsable des affaires francophones du gouvernement...
Fransas’qui? Fransas’quand ? Au bout de combien de temps devient-on vraiment Fransaskois? Cette question brûle les lèvres de beaucoup de gens. Voici mon...
Mariachis manitobains à Gravelbourg GRAVELBOURG - Dans le cadre des Rendez-vous de la Francophonie, le groupe manitobain Son Del Norte était de passage à Gravelbourg...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16336 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer