Communautaire 16 avril 2015 Fonds publics: les organismes francophones sont-ils transparents? Patrimoine canadien n’est pas le seul financier des communautés francophones. Quelles sont les autres sources et l’envergure du financement ? Francopresse survole cette semaine la situation des organismes nationaux. La semaine prochaine, ce sera au tour des organismes porte-parole provinciaux et territoriaux.
16 avril Cinéma Retour sur 10 ans de Cinéma vendredi 1er mai Soirée d'ouverture du Festival CINERGIE 2015 Les films 1987 et C.R.A.Z.Y. seront présentés lors de la soirée d'ouverture du Festival CINERGIE.
La Fondation fransaskoise, importante pour la communauté Dans les situations minoritaires, une entité qui supporte l’ensemble de la communauté est primordiale pour la survie...
Tisser des liens entre immersion et écoles fransaskoises Il serait dans l’intérêt de la communauté fransaskoise d’établir des ponts entre les écoles...
Désirée Loiselle, grande gagnante de Jamais trop tôt C'est Désirée Loiselle, étudiante à l’école Providence de Vonda, qui représentera la...
« On peut être heureux sans accumuler toujours plus » Un évêque vient parler d’agriculture à des élèves d’Edmonton EDMONTON - Le vendredi 13 mars, l’évêque belge Eugenio Rixen a rencontré des élèves de...
16 décembre 2019 Jean-Philippe Deneault 31977 2019, Saskatoon, Arts et culture Concert éblouissant de Rayannah à Saskatoon SASKATOON - Retour sur l’avant-dernier spectacle de la tournée canadienne et allemande du tout dernier album Nos repaires lancé en mars 2019 par la Franco-Manitobaine Rayannah, de passage à Saskatoon. Rayannah a offert un concert intimiste le 6 décembre au centre de production en nouveaux médias Paved Arts, en plein cœur du quartier Chinatown de Saskatoon. Ce moment musical magique d’une qualité et d’une finesse d’exécution exceptionnelle rappelle la force des collaborations artistiques transdisciplinaires. Dès le début du spectacle, les projections vidéo recherchées de SKUSE (Stéphanie Kuse) ont métamorphosé la scène en un espace complètement immersif. Notons aussi les quatre bandes fluorescentes des deux côtés de la scène, derrière les deux stations de synthétiseurs et claviers se faisant face, et jouant sur les codes esthétiques scéniques des années 1980. En première partie, Respectful Child (Melissa Gan) a donné une leçon de maître dans l’utilisation des pédales loops, jouant au violon en mode pizzicato ou avec l’archet, chantant et insufflant de simples respirations, créant ainsi des paysages sonores planants. Respectful Child s’est ensuite jointe à Rayannah et à la musicienne ottavienne Yolande Laroche pour un trio improvisé de haut vol. Sans interruption, Rayannah a poursuivi un tour de chant mettant en valeur sa voix envoûtante sur fond d’arrangements électro-pop inventifs et complexes. La qualité des paroles, tant en français qu’en anglais, rappelle le succès d’artistes d’envergure comme Bjork ou Ariane Moffat. Balises Rayannah Partager Imprimer