12 janvier L'Apostrophe La fin des tyrans L’arrestation massive, début décembre 2022, d’un groupuscule d’aristocrates ultranationalistes en Allemagne prêts à attaquer le...
Dans l’Ouest, des aéroports boudent leurs obligations linguistiques FRANCOPRESSE – Le Commissariat aux langues officielles a reçu un total de 51 plaintes sur une période de douze mois contre les aéroports de...
Halfbreed de Maria Campbell prend vie en parler fransaskois Les mémoires de Maria Campbell, Halfbreed, publiées pour la première fois en 1973, trouvent un nouveau souffle avec la sortie cet automne...
Les jeunes dans la peau des politiciens De retour en personne après la pandémie, la 27e édition du Parlement jeunesse fransaskois (PJF) s’est déroulée du 9 au 11 décembre au Palais...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6134 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer