16 novembre Santé Les effets de la pandémie sur les francophones à l’étude Un atelier participatif sur l’impact de la pandémie sur les familles francophones en Saskatchewan a été présenté dans le cadre du...
L’art au secours de la santé mentale Dans le cadre du Rendez-vous fransaskois, l’après-midi du samedi 5 novembre a été l’occasion de participer à plusieurs ateliers sur le...
Ces femmes dans nos vies Pour Zoé Fortier, artiste visuelle de Saskatoon, pas besoin d’aller loin pour trouver l’inspiration auprès de la gent féminine....
Un rassemblement entre lancements, coups de cœur et célébrations Les Fransaskois se sont retrouvés du 4 au 6 novembre à l’hôtel Hilton Garden Inn de Saskatoon pour célébrer en personne le 33e Rendez-vous...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6147 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer