8 novembre Politique Les cibles d’immigration revues à la hausse, sauf en francophonie minoritaire FRANCOPRESSE – Dès l’an prochain, le ministère de l’Immigration veut augmenter le seuil de résidents permanents à...
Loi sur les langues officielles : la ministre est « inquiète » La ministre des Langues officielles Ginette Petitpas Taylor souhaite voir le projet de loi C-13 adopté avant Noël. Inquiète du silence et des...
Le jazz manouche de Christine Tassan aux quatre coins de la Saskatchewan Rencontre avec la musicienne Christine Tassant dont le dernier album, Voyage intérieur, a été sélectionné pour deux prix Juno en 2022.
Un automne aux couleurs de l’arc-en-ciel Le programme En toute fierté ! de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), destiné à promouvoir le bien-être de la communauté...
FFS : retour sur une année dévouée à la communauté Le 13 octobre en soirée, la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS) a invité ses membres à se rassembler au Relais et sur Zoom pour sa 42e...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6147 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer